Quel âge a Frieren ?
Ah, la question qui fait trembler le monde entier des amateurs d’anime ! Pour ceux qui vivent dans une grotte (ou peut-être simplement sous une pierre), la série Frieren: Beyond Journey’s End est la new wave du moment, avec son petit goût de mélancolie, de magie et d’immortalité. Pour résumer : Frieren, l’elfe immortelle, a vécu… eh bien, beaucoup trop longtemps (peut-être même plus de siècles que votre arrière-grand-mère !). Mais patience, je vous entends déjà demander : « Et Fern, alors ? Combien d’années a-t-elle ? » Prenez un café, installez-vous confortablement, et préparez-vous à plonger dans le monde des âges – un tourbillon journalistique qui peut aussi être un peu fantastique !
Franchement, quel est l’âge de cette elfe ?
Commençons par Frieren elle-même ! Cette élève de l’immortalité, qui fait rougir de jalousie n’importe quel vampire, a vécu des centaines d’années. Oui, vous avez bien entendu. Au moment où la plupart d’entre nous découvrent les joies de la lecture à l’âge de 6 ans, Frieren a accompli ce qu’il fallait pour devenir une véritable légende vivante. C’est presque comme si elle avait un abonnement à vie à l’école de la sagesse… dont elle n’arrête jamais de se désinscrire en raison de son éternité.
Mais, attendez ! L’histoire ne s’arrête pas là. Comme dans toutes les bonnes séries, nous avons une touche d’humanité. Fern, sa jeune apprentie, entre en scène. Considérée comme un petit rayon de soleil parmi les nuages sombres de l’immortalité, Fern est une mage humaine qui, malheureusement pour elle, n’a pas la même longévité que Frieren. Mais avant de vous embrouiller avec plus de chiffres que dans les devoirs de maths de votre enfance, laissons-nous remonter le fil.
Les débuts de Fern
Bienvenue dans le premier chapitre de notre voyage passionnant, où nous rencontrons Fern âgée de 8 ou 9 ans. Elle est jeune, enthousiaste, et ses talents magiques sont encore à l’état larvaire. Mais vous savez quoi ? Même les plus grands mages ont commencé quelque part, non ? Spoiler alert : elle est promise à un brillant avenir avec Frieren à ses côtés, lui enseignant ce que c’est que d’être une véritable magicienne et, accessoirement, comment manipuler des sorts plus efficaces que la simple magie d’illusion qu’elle maîtrise encore.
En l’espace de quatre chapitres (qui pour nous, vieux mortels, semblent aussi longs qu’une série entière sur Netflix), Fern développe ses compétences magiques. À 13 ans, elle est capable de frapper une pierre de l’autre côté d’un précipice – une compétence qui fera rougir plus d’un enfant de la même tranche d’âge de jalousie. Pas assez impressionnant pour vous ? Attendez, cela s’améliore ! Parfois, je me demande si « l’école de magie » a vraiment un programme d’accélération des talentueux jeunes mages.
L’aventure continue : L’arc du « Au-delà de l’épreuve »
Vous penseriez que les aventures seraient recalibrées une fois qu’on atteint un chiffre d’âge favorable. Mais surprenons-nous, car dans l’arc “Au-delà de l’épreuve”, le temps devient encore plus fluctuant. Les sauts de temps ? Sont devenus l’équivalent d’un café chez Starbucks : pas toujours présents, mais on peut en trouver ! À ce stade, l’histoire met au défi la façon dont nous percevons le temps et la croissance.
Fern passe son premier test d’année comme mage à l’âge de 18 ans, et ne vous y trompez pas : elle a l’assurance d’un jeune Benjamin qui a toujours eu une bonne note dans ses matières. Imaginez un peu : alors que son camarade de classe est en train de déchiffrer qui sait quoi pour l’examen, Fern se bat contre des mages exemplaires, tout en gardant la tête haute. Comme quoi, cela doit être le résultat des cours particuliers qu’elle a reçus de Frieren, ou peut-être que les elfes ont un secret de magie temporelle que les humains n’ont pas encore découvert.
Les relations et l’évolution
Mais ce n’est pas tout ! Le lien qui unit Frieren à Fern ne concerne pas seulement l’enseignement, mais aussi l’exploration des émotions de la vie humaine. C’est épique, c’est poignant, et souvent, on ressent le besoin de s’essuyer les larmes avec tout ce qui nous tombe sous la main. L’idée que Frieren, l’immortelle, apprenne ce que signifie être humain grâce aux petites sautes d’humeur de Fern est un concept à la fois étonnant et touchant. Qui aurait cru qu’une elfe immortelle aurait besoin d’une leçon sur le passage du temps par une gamine de 18 ans ?
Les mystères de l’art du mage
Alors que nous nous dirigeons vers la fin de la série, une question demeure en suspens : à quel point Fern deviendra-t-elle plus forte en vieillissant ? Peut-elle jamais égaler l’immortalité de Frieren ? On découvre avec enthousiasme que les grands combats sont réels. Au fil des chapitres, Fern prouve qu’elle est incroyablement compétente. S’affrontant à des clones de Frieren et parvenant à se défendre… eh bien, on commence à se demander si elle ne va pas lui piquer la place de numéro un en mage après tout.
Conclusion
En fin de compte, même si l’histoire de Frieren et Fern est un entrelacement de magie, d’apprentissage et d’amitié, il reste un grand mystère – quel âge a vraiment Frieren ? À combien d’années de cours de magie Fern est-elle aussi proche ? À l’ère du numérique, les combats épiques dans les grands arcs sont déjà en train de façonner l’avenir des enfants d’aujourd’hui. Alors, qui sait si on obtient l’ultime réponse à cette question ? Peut-être que quelques années – ou siècles – de méditation dans le silence d’une forêt elfique le révéleront. En attendant, nous continuerons à suivre leurs aventures et à observer la conclusion. Oh, et faites-moi un énorme plaisir, ne demandez pas leur âge, il pourrait encore y avoir des vérités blessantes !
(image en vedette : Crunchyroll/Madhouse)
Ce qui est fascinant dans Frieren: Beyond Journey’s End, c’est qu’il nous rappelle que, peu importe notre âge ou nos expériences, le voyage et les petits enseignements que nous tirons des autres, qu’ils soient jeunes ou vieux, sont ce qui compte vraiment. Que vous soyez un elfe immortel ou un humain de 18 ans plein d’allant, l’important, c’est d’apprendre, de grandir, et de se souvenir que la magie est avant tout humaine.